RENNES : DECHAINEMENT DE VIOLENCES CONTRE LA LOI EL KHOMRI
RENNES : DECHAINEMENT DE VIOLENCES CONTRE LA LOI EL KHOMRI
RENNES : DECHAINEMENT DE VIOLENCES CONTRE LA LOI EL KHOMRI
RENNES : DECHAINEMENT DE VIOLENCES CONTRE LA LOI EL KHOMRI
RENNES : DECHAINEMENT DE VIOLENCES CONTRE LA LOI EL KHOMRI
RENNES : DECHAINEMENT DE VIOLENCES CONTRE LA LOI EL KHOMRI
RENNES : DECHAINEMENT DE VIOLENCES CONTRE LA LOI EL KHOMRI
RENNES : DECHAINEMENT DE VIOLENCES CONTRE LA LOI EL KHOMRI
RENNES : DECHAINEMENT DE VIOLENCES CONTRE LA LOI EL KHOMRI
RENNES : DECHAINEMENT DE VIOLENCES CONTRE LA LOI EL KHOMRI
RENNES : DECHAINEMENT DE VIOLENCES CONTRE LA LOI EL KHOMRI
Voiture brûlée dans le centre ville.
Voiture brûlée dans le centre ville.

En ce jeudi 31 mars 2016, la ville de Rennes a connu un déchainement de violences jamais connu depuis la manifestation des pêcheurs en 1994. Durant une bonne partie de l'après-midi, elle a été le théâtre de nombreux affrontements. Des groupes d'étudiants, des syndicalistes, es anarchistes, des jeunes filles, des lycéens, des petits bourgeois et des banlieusards, très mobiles, ont harcelé les forces de l'ordre qui ont répondu par des jets de lacrymogènes au milieu de centaines de Rennais incrédules. A de nombreuses reprises, les heurts ont été particulièrement violents rue Jean Jaurés, boulevard de la Liberté et sur la place de la République. Ils ont causé de nombreux dégâts dans la ville (palissades arrachées, des voitures brûlées...). Vers 18 heures, ce soir, ils étaient encore quelques centaines à affronter les CRS non loin des Galeries Lafayette. "Nous voulons rejoindre le Parlement", expliquait une jeune femme sous une pancarte où il était écrit en grosses lettres : "Vive la Révolution". On était loin de la manifestation pacifiste de la fin de la matinée.

Boulevard de la Liberté, on a frôlé la catastrophe. Un automobiliste a forcé le barrrage des manifestants. heureusement sans gravité.
Retour à l'accueil